Les mangas, les jeux vidéos et tous les avatars de la « culture otaku » ont été présentés comme autant de refuges plus ou moins abrutissants pour jeunes mal dans leur peau. En s’appuyant sur les œuvres de Lyotard et Baudrillard, un jeune philosophe japonais affirme au contraire qu’ils sont l’emblème de ce simulacre « postmoderne » qu’est devenue la société japonaise.