Pascal Bastien propose une histoire comparée de la peine de mort à Londres et à Paris, quand les supplices les plus variés se déployaient dans l’espace urbain. S’il évacue sans doute trop vite le rôle du processus de civilisation dans les changements de la punitivité, il analyse finement le rituel de l’exécution, sa sacralité, son univers sonore, et ce qu’il fait à la ville.