Depuis la fin des années 1960, la question de la portée politique de l’oeuvre littéraire et artistique n’a cessé de se poser, interrogeant sa capacité à concilier enjeux politiques et esthétiques. Dans ce débat qui ne cesse de s’enrichir à mesure que la définition de l’oeuvre devient plus complexe, passer par l’exemple et le particulier devient inévitable et nous permet de saisir comment certaines oeuvres aboutissent à un équilibre, sinon à une conciliation, efficace.