Dans les cours qu’il dispense à Harvard, Michael J. Sandel défend, contre le libéralisme politique, l’idée que la politique doit promouvoir le meilleur genre de vie et non se contenter de garantir les droits des individus. L’ouvrage qu’il en a tiré est séduisant, mais il ne répond pas à toutes les objections auxquelles doit faire face le communautarisme.