L’été n’est pas nécessairement la saison des mortes-eaux politiques et du « bronzer idiot », comme le prouvent certains rassemblements écologistes et alternatifs des années 68. La période estivale est propice au militantisme, fût-il festif, ainsi qu’à la diffusion d’idées et de pratiques nouvelles. Une parenthèse révolutionnaire ?