En vingt ans, le rayonnement politique, économique et culturel d’Astana s’est imposé, en Asie centrale et au-delà, à la faveur d’entreprises ostentatoires. Pour asseoir la place du nouvel État kazakhstanais dans la mondialisation, des urbanistes étrangers ont doté la jeune capitale d’une architecture syncrétique qui illustre l’ambition totalisante des autorités.