Illustration : Anonyme, « 1917 – 1990, fin de l’expérience soviétique », 1990. Affiche, coll. BDIC.
Les images présentées dans le portfolio en bas de page sont également issues de l’exposition. Tous droits réservés.
L’exposition « Berlin : l’effacement des traces, 1989-2009 » est présentée au Musée d’histoire contemporaine – BDIC à Paris du 21 octobre au 31 décembre 2009. L’historienne Sonia Combe en est l’une des commissaires, aux côtés de Thierry Dufrêne et Régine Robin.
Sommaire des vidéos :
Pourquoi avoir choisi le thème de l’effacement au moment même de la commémoration de la chute du mur ?
Dans quelle mesure peut-on parler d’une politique volontaire d’éradication des traces ?
Si cette vidéo ne marche pas malgré la présence de Flash ou que vous ne pouvez pas installer Flash (par exemple sur mobile), vous pouvez la voir directement sur Dailymotion.
La société civile s’est-elle mobilisée pour préserver les traces urbaines du passé est-allemand ?
Si cette vidéo ne marche pas malgré la présence de Flash ou que vous ne pouvez pas installer Flash (par exemple sur mobile), vous pouvez la voir directement sur Dailymotion.
Les traces et le souvenir de la vie quotidienne en Allemagne de l’Est ont-ils vraiment disparu ?
Si cette vidéo ne marche pas malgré la présence de Flash ou que vous ne pouvez pas installer Flash (par exemple sur mobile), vous pouvez la voir directement sur Dailymotion.
Les traces s’effacent, mais qu’en est-il de l’écriture de l’histoire est-allemande ?
Si cette vidéo ne marche pas malgré la présence de Flash ou que vous ne pouvez pas installer Flash (par exemple sur mobile), vous pouvez la voir directement sur Dailymotion.
Aller plus loin
– BERLIN 1989-2009 L’effacement des traces
Exposition ouverte du 21 octobre au 31 décembre 2009
Musée d’Histoire Contemporaine - BDIC
Pour en savoir plus : http://www.bdic.fr
– à lire : Berlin sampler de Théo Lessour, Ollendorff & Desseins, 2009, 360 p., 14 euros. Un guide original des oeuvres musicales produites à Berlin au cours du XXe siècle, à travers les dictatures, de la poésie sonore du dadaïsme en 1918 à la techno « minimale » d’aujourd’hui, en passant par le dodécaphonisme et les musiques dites « dégénérées » par le nazisme qui swinguait sous le bombes, les bruitistes de 1968, le punk en RDA, etc.
Pour citer cet article :
Nicolas Delalande & Audrey Williamson, « Berlin, capitale sans mémoire ? »,
La Vie des idées
, 6 novembre 2009.
ISSN : 2105-3030.
URL : https://laviedesidees.fr./Berlin-capitale-sans-memoire
Nota bene :
Si vous souhaitez critiquer ou développer cet article, vous êtes invité à proposer un texte au comité de rédaction (redaction chez laviedesidees.fr). Nous vous répondrons dans les meilleurs délais.